Lundi 9 juin 1 09 /06 /Juin 15:10

Non vous ne rêvez pas. Ce vendredi, j’ai rencontré mon amant, oui mon amant, je fus pris par surprise si je puis dire. En effet ma déesse m’a dit, nous sortons ce soir, nous sommes invité chez Gérard. Je ne connais pas de Gérard. Elle me dit avec un regard pervers devant mon étonnement. Tu verras, tu apprendras à le connaître. Je croyais que c’était un de ses nouveaux amants.

 

Ma Maîtresse m’habilla et me maquilla, je ressemblais à une vraie femme sauf qu’elle ne m’avait pas épilé. Je lui dis que les gens vont remarquer que je suis un male, Maîtresse,  laissez-moi me rasé et m’épiler. Elle dit non, non, je veux que l’on voit la lopette que tu es devenue. Voilà la tenue que je portais :



Ma déesse ne mit pas de fonds de teint, juste du rouge à lèvre (rouge carmin) et du mascara bleu. J’étais une femme au ¾ et un pseudo-homme au ¼.

 

Nous sortons, comme j’ai hésité et insisté un peu trop pour paraître plus féminine (j’en reviens pas j’ai supplié ma femme). Elle m’a dit que je serais puni.

 

Je me dirige vers le garage, mais ma déesse me dit, j’ai laissé la voiture dehors, juste au coin. Il y a 25 mètres, elle me dit, j’ai oublié quelque chose, je reviens, va déjà à la voiture. Il est à peine 19 h 30. Il fait encore clair, je n’ai pas le temps de réagir. Elle est rentrée. Je suis seul sur le trottoir et je n’ose pas bouger, il y a des jeunes qui approche, je me retourne vers la façade et je les entends, ouah quelle salope, regarde,  elle a des poils, c’est un travelo, sur ce ma femme revient et me voit encore sur le seuil  la porte. Elle me donne une gifle magistrale, et elle me dit quand je dis quelque chose, tu t’exécutes, tu l’as oublié, tu viens de gagner une semaine de plus dans ta cage. Les jeunes se mirent à rire. Et je me dirigea rapidement vers notre voiture.

 

Je me dirigeais du côté conducteur, elle me dit non c’est moi qui conduit.

 

A un feu rouge, un camion est juste à côté de nous, elle me dit écarte tes jambes et ouvre ton chemisier, caresse-toi le sexe à travers ta jupe, je mimais une masturbation féminine sur le plastique de ma cage en me caressant les seins. Elle ouvrit la fenêtre et discuta avec le convoyeur et lui dit que j’étais une lopette en chaleur. Elle lui remis une carte en lui disant que s’il voulait un jour s’occuper de mon cul, il pourrait, je m’étais arrêté et voulu dire quelque chose, mais elle me dit continue, je ne t’ai pas demandé de t’arrêter salope…

 

Elle redémarra et nous prîmes l’autoroute en direction de Chamonix et nous nous arrêtons sur une aire d’autoroute.  Ouvre ta fenêtre ? Je vis un sexe d’homme recouvert d’un préservatif, et j’entendis suce, je reconnus la voix du nouvel amant de ma femme. Je m’appliquais, il jouit dans le préservatif. Je dus lui enlever et le fermer.

Je dus descendre et monter à l’arrière.

 

Il pris ma place. Ma femme lui caressa la jambe et pris son sexe et lui fit une fellation sans préservatif et il allait jouir, elle lui mis un préservatif et il jouit dedans (elle le finit à la main). Le préservatif subit le même sort et fut fermé. Ils rirent en disant et voilà encore un dessert pour Gabriella.

 

Nous arrivâmes chez l’amant de ma femme. Une belle maison, je fus attaché à un crochet les bras en l’air, les jambes bien écartées les fesses tournées vers la table du salon.

 

Ma déesse me mit un bâillon. Je vais te punir comme il se doit pour ton manque de respect et ta désobéissance. Elle me fessa longuement à la main, puis elle prit sa brosse à cheveux. Elle ne s’arrêta que lorsque je pleurais à chaude larme. Elle me dit , la prochaine fois, tu feras peut être ce que je te dis sans rechigné sinon tu subiras le même sort.

 

Ils allèrent à table et dînèrent en se pelotant. Ils finirent par faire l’amour. Je les entendis jouir et gémir, je commençais à avoir mal au bras, à la machoire, je bavais comme un porc.

 

On sonna, j’entendis, ah voilà le premier.

 

On ouvrit la porte et j’entendis des voix. En fait , j’étais dos au couloir d’entrée, et même en tournant la tête, il m’était impossible de voir qui c’était. J’entendis deux voix masculines que je ne connaissais pas. Il s’installèrent derrière moi et je ne pus les voir. Ils firent des commentaires sur mes fesses rouges. Ils discutèrent de tout et de rien quand on sonna à nouveau.

 

Ca y est tout le monde était là…..  

Par Eddy ou Gabriella
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Lundi 2 juin 1 02 /06 /Juin 16:23

Je recherche des idées ou à échanger avec d'autres personnes dominantes ou vivant en couple comme nous, sans que mon soumis ait accès à celles-ci.

Voici mon adresse email : Christine16051973@yahoo.fr

Mon soumis n'a pas accès à cette boîte et j'attends de vos nouvelles.

Merci
A bientôt

Par Eddy ou Gabriella - Publié dans : Message de la déesse
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Lundi 2 juin 1 02 /06 /Juin 15:38

 

Je suis rentré vers 17 h 00 à la maison. Ma femme m’a suivi de dix minutes. Elle m’a embrassé et m’a glissé à l’oreille : « garde ton costume et tes dessous, prépare le repas pour trois et ne vient pas à l’étage ».

 

Je mis directement au fourneau, je devais préparer un plat simple, ce que je fis. Vers 18 h 00, ma déesse est apparue d’une jupe courte rouge, des bas résilles, un chemisier noir.

 

Elle est vraiment sexy et bandante. Elle me dit, il ne sait pas pour ce soir, il croit juste qu’on va dîner et travailler sur un dossier. Il me drague et sait que je suis mariée.

 

Vers 18 h 30, on sonne, j’ouvre la porte, l’invite à entrer, c’est vrai qu’il est pas mal, il a l’air jeune (23 ans). Il est même très beau, il porte un pantalon et un t-shirt qui met en valeur sa musculature.

 

Nous prenons l’apéritif et faisons connaissance. (échange de banalité)

Puis nous passons à table, c’est moi qui fait le service, je vois bien qu’Eric trouve cela un peu bizarre mais ne dit rien. Puis je débarrasse la table pendant qu’ils vont dans le salon. Ils sont installés dans le fauteuil. Ma femme a une main sur sa cuisse, je m’assois en face et nous discutons lorsqu’Eric demande à ma femme, et ce dossier ? Elle me regarde et me dit, chéri veux-tu bien descendre le chercher dans la chambre.

 

Je réponds oui, et je vais dans la chambre, elle discute avec Eric sans même me regarder partir.

 

J’arrive dans la chambre, sur le lit une enveloppe, une tenue de soubrette. Dans l’enveloppe un mot :

« Tu t’habilles et vite tu as cinq minutes pour nous rejoindre, n’oublie de laisser le lit vide… »

 

Je m’habille et me voilà dans une tenue de soubrette, je me dirige vers le salon et j’entends des rire, leurs voix, plus je me rapproche, plus j’ai honte, plus je me demande comment il va réagir en me voyant ainsi.  Puis je l’entends dire, non, il porte une ceinture de chasteté, et il te laisse choisir tes amants, je ne te crois pas. Ma déesse attend et tu vas voir :

 

« Gabriella, nous t’attendons » cria-t-elle

Lui je croyais qu’il s’appelait « Eddy »

« En public, mais ici c’est ma soubrette Gabriella »

 

Je suis jus te à l’entrée du salon, ma déesse m’a vu pas lui, elle crie plus fort « Alors, Gabriella, tu sais que je n’aime pas attendre. »

 

Moi :                « Je suis là, Maîtresse »

Eric                  « Je rêve ou il t’a appelé Maîtresse »

Maîtresse            « Non, non, tu ne rêve pas chéri »

 

Elle a appelé chéri, il ne réagit même pas à l’allusion, trop occupé à me détailler.

Eric :                « Il porte souvent cette tenue »

Maîtresse            « Eric, tu peux lui poser toutes les questions que tu veux . »

 

Elle déplace sa main sur la cuisse d’Eric et remonte doucement vers son entre-jambe. Il ne réagit pas, on dirait qu’il trouve cela normal ou il ne s’est pas encore remis de la situation.

 

Eric :                « Alors, Eddy, tu portes une ceinture de chasteté, Pourquoi ? »

Moi :                « Appelez-moi, Gabriella, Monsieur, je porte une ceinture de chasteté, car je ne peux pas satisfaire Maîtresse Christine et que mon vermisseau ne sert à rien . » Il me posa d’autres questions puis ma Maîtresse me dit :

 

Maîtresse            « A genoux, viens me lécher les pieds »

 

Je mis à ses pieds et les lécha, ce qui fit rire Eric, j’entendis comme une tirette qu’on ouvre :

 

Eric :                « Mais que fais-tu ? »

Maîtresse            « Tu le vois bien et je sens bien que cela ne te déplaît pas »

Eric :                « Devant lui… »

Maîtresse            « Elle, t’en occupe pas d’ailleurs il est d’accord, demande-lui si tu veux »

 

Eric                  « Eddy euh Gabriella, cela ne…. Te dérange pas que ta femme me pelote » dit-il timidement

 

Moi, honteux            « Oui Monsieur, ma Maîtresse fait ce qu’elle veut et je suis d’accord »

Eric en gémissant car ma femme lui fait une fellation : « Hmm, oui vas-y suce-moi, hmm c’est bon » Ma Maîtresse entre deux sucions, «  elle est énorme, je vais prendre beaucoup de plaisir, ce soir, tu entends salope »

Je continuais de lécher ses pieds.

 

Eric demanda à ma femme d’arrêter  car il était gêné. (devant moi). Ma déesse me dit, fais quelque chose, j’ai trop envie de sa bite.

 

Je regarda, Eric et je lui dit que s’il voulait, il pouvait aller avec Christine dans la chambre et je resterais ici. Après une longue conversation et après avoir supplier Eric de bien vouloir s’occuper de ma déesse. Il finit par accepter.

 

Ils allèrent dans la chambre. Ma déesse n'avait plus sa jupe et descendit ainsi vêtu.


 Je les entendais. Elle criait. Elle jouissait comme une folle.

 

Ils m’ont vite oublié. Vers 3 heures du matin, Eric est parti. Ma déesse a gardé les 4 préservatifs pleins de sperme et me dit, tu vois j’ai pensé à toi, ton petit déjeuner…

 

Elle ajouta c’est dommage pour toi qu’il n’aime les salopes dans ton genres car il te bourrerais le cul comme personne.

 

Elle s’endormit pendant que je lui léchais le cul tout dilater.

 

Ps : Mon petit déj. : café au sperme d’Eric micro-ondé

 

J’ai pu jouir sur la culotte de sa nuit en me godant devant elle, ensuite j’ai dû lécher la culotte. Cela faisait plus de 15 jours sans jouissance. Je suis retourner dans ma cage
Par Eddy ou Gabriella - Publié dans : cocu
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Vendredi 30 mai 5 30 /05 /Mai 16:43

Voilà, ma déesse m'a confirmé que ce soir, il y aurait un vrai homme à la maison.


Il ne connaît pas ma condition, mais ma déesse m'a ordonné de tout faire pour le mettre à l'aise et lui faire comprendre qu'il peut disposer d'elle.
Lors de sa venue, je serais en pantalon mais j'aurais des dessous féminins et je porterais ma cage (d'ailleurs il n'y a aucune raison pour qu'il en soit autrement, dixit ma déesse).
Je sais juste qu'il est noir et qu'il travaille avec ma déesse.
Je vous raconterais la soirée....



Par Eddy ou Gabriella
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