marisoumisetchaste

Non vous ne rêvez pas. Ce vendredi, j’ai rencontré mon amant, oui mon amant, je fus pris par surprise si je puis dire. En effet ma déesse m’a dit, nous sortons ce soir, nous sommes invité chez Gérard. Je ne connais pas de Gérard. Elle me dit avec un regard pervers devant mon étonnement. Tu verras, tu apprendras à le connaître. Je croyais que c’était un de ses nouveaux amants.

 

Ma Maîtresse m’habilla et me maquilla, je ressemblais à une vraie femme sauf qu’elle ne m’avait pas épilé. Je lui dis que les gens vont remarquer que je suis un male, Maîtresse,  laissez-moi me rasé et m’épiler. Elle dit non, non, je veux que l’on voit la lopette que tu es devenue. Voilà la tenue que je portais :



Ma déesse ne mit pas de fonds de teint, juste du rouge à lèvre (rouge carmin) et du mascara bleu. J’étais une femme au ¾ et un pseudo-homme au ¼.

 

Nous sortons, comme j’ai hésité et insisté un peu trop pour paraître plus féminine (j’en reviens pas j’ai supplié ma femme). Elle m’a dit que je serais puni.

 

Je me dirige vers le garage, mais ma déesse me dit, j’ai laissé la voiture dehors, juste au coin. Il y a 25 mètres, elle me dit, j’ai oublié quelque chose, je reviens, va déjà à la voiture. Il est à peine 19 h 30. Il fait encore clair, je n’ai pas le temps de réagir. Elle est rentrée. Je suis seul sur le trottoir et je n’ose pas bouger, il y a des jeunes qui approche, je me retourne vers la façade et je les entends, ouah quelle salope, regarde,  elle a des poils, c’est un travelo, sur ce ma femme revient et me voit encore sur le seuil  la porte. Elle me donne une gifle magistrale, et elle me dit quand je dis quelque chose, tu t’exécutes, tu l’as oublié, tu viens de gagner une semaine de plus dans ta cage. Les jeunes se mirent à rire. Et je me dirigea rapidement vers notre voiture.

 

Je me dirigeais du côté conducteur, elle me dit non c’est moi qui conduit.

 

A un feu rouge, un camion est juste à côté de nous, elle me dit écarte tes jambes et ouvre ton chemisier, caresse-toi le sexe à travers ta jupe, je mimais une masturbation féminine sur le plastique de ma cage en me caressant les seins. Elle ouvrit la fenêtre et discuta avec le convoyeur et lui dit que j’étais une lopette en chaleur. Elle lui remis une carte en lui disant que s’il voulait un jour s’occuper de mon cul, il pourrait, je m’étais arrêté et voulu dire quelque chose, mais elle me dit continue, je ne t’ai pas demandé de t’arrêter salope…

 

Elle redémarra et nous prîmes l’autoroute en direction de Chamonix et nous nous arrêtons sur une aire d’autoroute.  Ouvre ta fenêtre ? Je vis un sexe d’homme recouvert d’un préservatif, et j’entendis suce, je reconnus la voix du nouvel amant de ma femme. Je m’appliquais, il jouit dans le préservatif. Je dus lui enlever et le fermer.

Je dus descendre et monter à l’arrière.

 

Il pris ma place. Ma femme lui caressa la jambe et pris son sexe et lui fit une fellation sans préservatif et il allait jouir, elle lui mis un préservatif et il jouit dedans (elle le finit à la main). Le préservatif subit le même sort et fut fermé. Ils rirent en disant et voilà encore un dessert pour Gabriella.

 

Nous arrivâmes chez l’amant de ma femme. Une belle maison, je fus attaché à un crochet les bras en l’air, les jambes bien écartées les fesses tournées vers la table du salon.

 

Ma déesse me mit un bâillon. Je vais te punir comme il se doit pour ton manque de respect et ta désobéissance. Elle me fessa longuement à la main, puis elle prit sa brosse à cheveux. Elle ne s’arrêta que lorsque je pleurais à chaude larme. Elle me dit , la prochaine fois, tu feras peut être ce que je te dis sans rechigné sinon tu subiras le même sort.

 

Ils allèrent à table et dînèrent en se pelotant. Ils finirent par faire l’amour. Je les entendis jouir et gémir, je commençais à avoir mal au bras, à la machoire, je bavais comme un porc.

 

On sonna, j’entendis, ah voilà le premier.

 

On ouvrit la porte et j’entendis des voix. En fait , j’étais dos au couloir d’entrée, et même en tournant la tête, il m’était impossible de voir qui c’était. J’entendis deux voix masculines que je ne connaissais pas. Il s’installèrent derrière moi et je ne pus les voir. Ils firent des commentaires sur mes fesses rouges. Ils discutèrent de tout et de rien quand on sonna à nouveau.

 

Ca y est tout le monde était là…..  

Lun 9 jun 2008 Aucun commentaire